La légende des 666

Je m'en souviens comme si s'était hier, ou avant-hier, enfaîte je ne sais plus 
quand cet événement est arrivé...Mais, j'était en paix...*Ou je crois*

Je m'appelle Y...o...*Sautons cette étape, ma mémoire me fait défaut...*

Le soleil plongeait sur le village de Kirito, comme toujours.C'était un très petit village de pêcheurs qui à chaque soir fessaient cuire leurs délicieux saumons sur le feu et de fermier qui récoltaient du riz, pour en faire une boule de riz qui sentait si bon.Les lueurs de cette boule de chaleur me réchauffait le visage, j'était bien.Je courrais sans cesse dans l'herbe haute avec mon chien chien, Sata. Le vent était bon, n'y trop froid et n'y trop chaud.

La vie était parfaite, je me souviens de c'est jours heureux...Mon esprit était encore intact et ne savais pas le sens du mot "cruel" ou "mort".Tandis que le jour je m'amusais avec mon fidèle animal, le soir je me fabriquais mon splendide arc en bois de chêne.Mon oncle m'avais apporté cette "simple" branche comme ma mère le disais si bien, d'un champs de bataille.Mon oncle ainsi, venais de tant à autre nous faire un salut, à ma famille et moi, avec plein de nouveaux cadeaux de ses combats.

Toutes les journées était joyeuses, presque toutes...Le 6 Février, alors que la neige fondait à vu d’œil pour allez s'écouler dans la rivière, ma famille me cachais dans la grange de ma grand-mère.Ils me disaient qu'il ne fallait absolument pas que je sorte de la grange, sous peine de me voir confisquer mon arc.Sa me déplaisais pas plus que ça, c'était comme le jeu de la "cachette".La grange, malgré l'odeur étrange qui en émanais, était amusante.je pouvais ainsi tondre les moutons, nourrir les porcelets, je leurs avaient tous donné un petit nom.Chaque animal de cette grange que j’appelais ma "Forteresse", avaient une place dans ma "famille".

À la fin de la soirée, je pouvais sortir.Ma mère bien aimée *Je me souviens plus de son nom* me prenais dans ses bras en pleurant...Je ne comprenais pas.Elle était triste de n'avoir pas gagné ? Elle était mauvaise perdante ? Ou elle voulais tout simplement me dire qu'elle m'aimait sans pouvoir le dire avec des mots.Je couchais ainsi le soir sans pouvoir comprendre cette étrange date, le 6 Février...L'année ? Je ne serais pas dire...

Les années se poursuivirent comme cela.Vers mes 11 ans, alors que j'avais fait mon arc et ma mère m'avais confectionné une petite armure en cuir qu'ont avaient en trop.Je jouais à "Garagami le Chasseur des Ombres" une légende de notre contrée...Il donnait aux pauvres habitants, ce que les riches avaient en trop, il n'avait pas tort.J'était content, mais je savais que demain nous allions être le 6 Février...

Je suis allé dans la grange comme à chaque année.Mais, cette fois-ci mon arc était prêt ! J'avais même fait une cible, que j'installa dans la grange.Je bandais mon arc avec une telle élégance, que ont auraient pu me confondre avec Garagami. Mes flèches s'élancèrent directement à chaque fois au milieu de la cible.C'était trop facile pour un archer comme moi ! Je me recula donc.La cible était assez loin cependant...Soudain, ma flèche eu une mauvaise altitude...Elle était passé par la fenêtre de la grange.

C'était mon seul projectile qui ne savais pas brisé contre la cible.Il me restait encore environs 4h à rester dans ma "Forteresse".Tout les animaux dormaient.Je devais aller la chercher cette flèche ! Je pris donc ma petite dague en guise seule arme, pour me donner un style plus brigand.Mais, quand j'ouvris la lourde porte en bois, j'apperçu une bande de brigand devant ma chaumière.

Ma pauvre mère si belle, devais leur donner une très grosse partie de nos récoltes et de brave bêtes, comme notre meilleur vache laitière.Ma maman n'osait pas les regarder en face.

Il fallait dire qu'ils avaient vraiment pas l'air commode.Ils étaient cinq,une très grande, assez mince avec un arc incrusté de dents humaines, j'avais déjà reconnu la terrible, Asuna la flèche Noire.À ses côtés, il y avaient les deux frères voleurs, Yasutomo et Kiritozaki, aussi surnommés les Dagues Infernales.Le puissant et imposant Kayaba, reconnu pour avoir terrassé lui seul l'armée de Tomoyo.Je ne comprenais pas.C'est quatre personnages étaient des voleurs et des brigands aux services des paysans comme nous, pas contre nous.J'entendis une voix sombre derrière moi.

Quand j'ai retourné ma tête, j'ai alors vu le majestueux Garagami le Chasseur des Ombres.Il était vêtu de noir, plusieurs couteaux et autres armes blanches lui était rattachés.Mais, le plus impressionnant était son arc, surnommé "Le Fléau des Nobles" et son puissant Katana "Le tranchoir d'or".Son visage, était camouflé par un voile noire, laissant à découvert qu'une profonde cicatrice en forme de croissant de lune, comme dans la légende.

Il m'attrapa alors l'épaule et me demanda de vider ma petite bourse, il n'y avais que une dizaine de pièces d'ors.Je refusa.Il me prit par la gorge.Il serra les dents.Je me mis à pleurer.Le forgeron du village, sorti de l'ombre.Il empoigna Garagami et lui asséna un violent coup à la tête.J'en profita pour me libéré et me cacher dans la rizière.

Le Chasseur des Ombres, se retourna et enfonça sa lame de son katana dans le dos du forgeron...Mais, le forgeron n'était pas n'importe qui, c'était mon père...*Je voudrais me rappeler des noms des membres de ma famille je ne sais pas pourquoi mais, cela est impossible*Mon père tomba, son visage me regardait encore, les yeux ouverts, la bouche ouverte ensanglanté...

Ma mère cria.Je ne peux même dire se que la femme qui ma mis dans son monde hostile à subit comme torture devant les quatre autres brigands.Garagami, brûla ainsi la grange et ma maison.Avez-vous déja entendu des animaux crié pitié se jour là je crois bien que j'ai attendu leur supplications.Ils brûlaient vivants.Garagami n'avais repéré, il avait entendu mes sanglots.Ma vie était fini...Mais, Sata sorti de nulle part, et mordit agressivement le meurtrier.

Une seule flèche s'enfonça dans le corps de mon meilleur ami, Sata. Asuna, cette femme, archère expérimenté mais dépourvu de sentiment même envers les animaux.Je m’enfuis encore, jusqu'aux bois...J'entendais les cris de c'est tueurs qui demandaient à ce que je reviennes...Pour m'achever...

Le 6 Février, une date de meurtre et de sang...Je voulais vraiment ressembler à se Garagami ? Ce n'était pas un simple jeu de cachette...Un jeu où la vie est en jeu, survivre. 

Cela fessait une semaine que je me promenais dans la forêt, ou peut-être un mois, je ne serais dire.Mon cœur était déchiré.Chaque minute de ma courte existence était comme si ont me clouais un pieu dans le dos.J'avais mal et j'avais froid.Jamais auparavant j'avais vécu ainsi, mon oncle m'avais bien enseigné les bases de la survie en forêt, mais jamais je n'y avais été confronté en face.Cette dure épreuve était longue et épuisante.

Je me souviens de ce que mon oncle me disais.Rester près d'une source d'eau potable, faire un feu la nuit, toujours avoir un abris et avoir une arme en tout temps sur moi.J'avais encore ma petite dague en fer usé et mon précieux arc.Je l'avais récupéré quand les cinq meurtriers sont partis, mon arc était sous la carcasse de Hakami, notre puissant cheval de chariot.Je ne pouvais pas rester dans le village, ils auraient essayé de me retrouver, car je savais très bien que c'est occultes personnages ne laissais jamais à l'abandon une quête.Je suis donc resté en forêt.

Les feuillages m'agressaient, les troncs riaient de moi et les racines s'amusaient à me faire tomber.Cette prison naturelle était maintenant la seule endroit où je pouvais me réfugier.La nuit je pleurais, je voyais en rêve ma mère pleurer et mon père abattu sur le sol tel un animal.Aurais-je pu éviter cette événement ? Si je ne saurais pas parti retrouver ma flèche, rien de tout cela ne serait arrivé ! Ma stupidité était pour moi la pire des barricades à traverser.Pourquoi je réagissais comme cela, se n'était pas de ma faute ! Non, pas moi ! C'est la faute de se faux héros !

Le vent soufflait très fort quand je suis sorti de cette forêt.Le feu des torches sur le chemin du village n'avais plus de chaleur à m'offrir.J'étais froid.Je regardais dans les yeux des paysans comme si la mort était en moi.Je ne sais pas quel âge j'avais quand je suis sorti de la forêt.Tout ce que je peux dire c'est que les poils hérissaient sur mon menton.Mes vêtements n'étaient plus que des lambeaux que j'avais moi même rapiécé avec du cuir des sangliers sauvages et de pandas qui m'observaient dans cette "prison".

Les habitants avaient peur de moi.Ils ne me reconnaissaient donc pas ? Moi qui les avaient aider peu importe le moment.Récolter le champs de oignons du vieux Yakadami, nourrir les chiots de cette vielle Surana et couper du bois pour la famille Kazognata.Les gens étaient immondes, ils laissaient pourrir ce qu'ils pouvaient aider à fleurir.

La nuit du 19 octobre...Comment je ne pas me souvenir de cette nuit ? Je errais dans les ruelles du quartier centrale, quand j'ai vu les deux frères Yasutomo et Kiritozaki.Au début, j'avais eu peur, mais je me suis contrôlé.Je n'avais pas à croire ce qui était entrain de se passer.Les Dagues Infernales agressaient deux jeunes filles.Elles étaient si belles, si majestueuses, si resplendissantes, si vivante...Mon contraire, du moins c'est ce que je voulais croire.Que fallait t-il que je fasse ? Les aider ? Aider des personnes qui eux-mêmes ne m'auraient pas aidé ? Mais, je ne pouvais pas regarder une fois de plus des gens mourrir devant moi à cause de c'est malfrats.


Mais, qu'est-ce que je pourrais faire ? Je pourrais peut-être en éliminer un, mais l'autre se ruerais sur moi ! Il fallait que je trouve une solution.Soudain, la lueur de la nuit me dévoila.Les Dagues Infernales me fixaient froidement.Je n'avais plus le temps de penser.Il fallait agir maintenant ! Mes pieds ne bougeaient pas ! Ils étaient en-briqué aux rues ! Mes lèvres tremblèrent. Je ne tenais plus sur place.Le frère Yasutomo fût le premier à s'élancé ! Sa vicieuse dague me transperça l'abdomen.Je regardais mes mains, elles étaient ensanglantés, mon ventre ressemblait à une chute, mais ce n'était pas de l'eau qui s'écoulait...


Mes yeux se referma.Je sentis dans tout mon corps une sensation que je n'avais jamais eu ! Le goût de tuer, je voulais du sang.Je repoussa Yasutomo, et je décrocha une flèche à une vitesse que je n'avais jamais vu.Le cruel frérot me regarda, ses lèvres bougeaient sans dire un mot, mais je pouvais y lire la peur et la colère.Il s'écroula.Son frangin, était bouleversé par le cadavre sur le sol.Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis mis à rire.Je me sentais terriblement mal, mais j'était content de se que j'avais accompli.


C'était comme en été quand j'était jeune.Quand je trouvais une fleur qui n'avais pas encore complètement éclos à cette saison, c'était un signe de chance.Je ne trouva aucune fleur par ce meurtre mais la simple satisfaction. Kiritozaki, le deuxième complice lui, se mis à foncer droit sur moi.Je fît une simple esquive comme si j'avais toujours combattu.Il se retourna et un terrible combat de lame s'en suivie, moi avec ma dague mal affilé face à aux deux dagues de Kiritozaki, selon la légende, le seul fait de regarder le reflet du métal de ses armes pouvaient rendre aveugle.


Durant ce carnage,j'ai eu plusieurs entailles, mais ma rapidité d'attaque pris le dessus sur l'adversaire déjà remplis de peur.Il trébucha et tomba sous le pont avoisinant.Son corps coula aux fonds de l'eau, mes douloureux souvenirs en même temps.Un poids de moins sur moi, c'est cela que je me disais dans c'est année pour ne pas me faire reprocher mon propre acte.J'ai rapidement pris les vêtements de Yasumoto, il fessait presque ma taille maintenant.


Les deux jeunes filles m'avaient observé pendant tout ce combat.Sans jamais crier ou pleurer.J'allais me mettre à les rassurer, mais le sang continuais à couler.Je tomba alors dans un précipice...


La mort, est-t-elle juste si la personne tué à fait choses tout aussi horrible ? Et moi ? La légende disait vrai, les lames de Kiritozaki rendait aveugle, pas physiquement, mais mentalement...

Il fessait noir, très noir.J'avais tombé d'un précipice ? Un gouffre sans fond.Où tout était noir et froid.J'avais très mal, c'était comme si j'avais une douloureuse épine dans le torse.Ma vie était fini ? C'est ce que ont appelaient la "Mort".C'était triste et sans joie.Quoi que la mort fait partie de la vie.Nombreux disent que la mort est le début de la vie, je trouve sa ridicule.Tomber sans fin dans un trou obscure sans lumière, avec une agonie sans répit, je n'appel pas sa la "Vie"

J'ouvris enfin les yeux.Je ne savais pas combien de temps j'avais été endormi, n'y si j'avais vraiment "dormi".J'était dans une couchette confortable pour mon pauvre corps qui n'avait longtemps pas eu se luxe.Le rude vent de l'extérieur ne se fessait pas ressentir ici.J'était dans une chaumière sans aucun doute.Une douce lumière m'éclairait.Un somptueux parfum de riz cuit et de bœuf bouilli, une soupe Miso devais être en préparation.Je me souviens de c'est soupe, ma mère les cuisinais autrefois, ils réchauffaient le cœur de toute notre famille, avant...J'avais subitement faim.

J'entendais de belles voix féminines qui discutaient en bas, pour savoir qui allaient me questionner en premier.J'ai ris, sa fessait bien longtemps.Les voix se tuent.Les escaliers grinçaient bruyamment, une douce silhouette entra dans ma chambre avec un plateau de porcelaine.Elle se nommait ... K...*Vous savez que pour les noms je ne suis pas un expert*Elle me donna une bonne portion de soupe Miso et me demanda comment toute cette histoire démente avait bien pu arriver.Je lui est alors raconté mon épopée, ou presque, il fallait tout de même se méfier.

L'autre fille nous écoutait par l'ouverture de la porte, elle était beaucoup plus jeune que ma autre compagne.Elles étaient sœurs et leurs parents étaient morts tout comme les miens dans un incendie causé par le groupe de Garagami.La plus aînée était d'une beauté, je n'avais jamais vu cela.De long cheveux d'un noir ébène, des yeux verts comme des émeraudes,  un visage digne d'un ange et une voix semblable aux murmures des fleurs.Elle était vêtu d'une longue robe verte et avait les cheveux sans coiffure pré-fait, elle était libre.Sa petite sœur,*Elle aussi son nom m'échappe mais c'était d'une douceur...* était vêtu d'une robe bleu et verte, physiquement elle était identique à sa sœurette mais, avec de grands yeux bleus.

Elles m'avaient tout les deux, soigné et offert de nouveaux vêtements, qui ressemblaient à ceux que les grands nobles portes régulièrement.Un pansement me couvrait l'abdomen entier, avec la soupe Miso, la douleur avait presque disparu.Mais, je crois que la vrai raison de mon rapide rétablissement était sans doute cette jolie fille aux yeux d'émeraudes.Elle était si gentille avec moi, si délicate et aimante.Cela fessait si longtemps que mon cœur n'avais pas battu, j'était dur, mais, je sentais que avec Émeraude *Oui, c'est le seul surnom qu'elle aimait* je pouvais revivre et laisser le passé derrière moi.En plus, à première vu elle avait le même âge que moi.

J'étais amoureux moi ? Non ! Ce ne pouvais pas être possible il y a moins de une semaine j'avais tué deux hommes d'une façon terrible.Je ne méritait pas cette attention, tout ses soins et ses mot réconfortants.J'était devenu un monstre, une âme sans pitié.Jamais j'avais voulu tuer, mais si je n'aurais pas agis ces deux filles ne seraient pas en vie et ne ferais pas battre mon cœur.Je pouvais changer ! C'était possible, mon oncle me le disait, il tuait des gens pour en sauver d'autres qui eux avaient mériter de vivre.Je devais me prouver à moi même que ma vie pouvais changer.

Chaque jour, pendant que sa petite sœur allait chez sa tante, elle et moi se baladèrent dans les sentiers montagneux entourant le village.Elle m'aidait à reprendre le dessus sur moi, mais jamais elle m'arrivait remercier pour l'affreux acte que j'avais fait.Les pétales qui tombaient dans l'eau et les chants des oiseaux, une atmosphère que je ne croyais jamais partager avec une personne aussi chère pour moi.L'amour un mystère, même pour un garçon aussi intelligent que moi.Main dans la main, nous alliâmes sur se pont près de l'endroit où je les avaient sauvé.Elles n'osait jamais regarder sous l'eau du pont, elle avait peur des fantômes ?

Les jours ne poursuivirent ainsi, quand pendant une nuit près du pont elle m'embrassa pour la première fois.Comment dire, je ne sais pas comment vous décrire ce moment, non pas parce que c'était si magique, mais c'était comme si quelqu'un s'amusait à jouer avec ma mémoire.Le lendemain, nous étions couché sous un arbre, les rayons du soleil se reflétait dans ses cheveux.J'était tout chaud, mon cœur et mon âme.Elle était là appuyé sur mon épaule, dormant paisiblement.

Deux mois s'était écoulé, j'allais chasser le jour dans le boisée et Émeraude s'occupait de la maisonnée, les repas, les vêtements et de puiser l'eau du puit.Sa petite sœur était parti 4 mois avec sa tante pour aider la dernière escadrons qui savaient dirigés vers la frontière de la Dynastie des Yong.Nous étions un jeune couple dans les 16 ans, mais c'était comme si je la connaissais depuis 30 ans.Chaque jour, la lumière du jour passait dans notre chambre pour nous éveillé.

Elle voulait se marier dans les règles de l'art, comme le veut la tradition.Elle voulait attendre sa tante et sa petite sœur pour préparer le tout.Moi j'était comblé.Il n'y a pas si longtemps, j'était un petit garçon caché dans les broussailles et maintenant j'allais me marier avec la plus belle femme que je n'avais jamais vu.les histoires d'amour étaient réelles, ils faut juste y croire et se laisser bercé par notre personnalité.

Mais, c'est lorsque ont en s'attend le moins que le pire arrive.J'arrivais tranquillement de ma chasse avec quelques lapins sauvages à la main.J'entendais des cris au loin, vers le village.Encore une fête de la pars des nobles je me suis dit.Mais, plus je me rapprochais, plus j'avais peur.Quand je suis arrivé au somment de la colline qui surplombait notre maison, des flèches, du sang, du feu et des morts.J'avais oublié, le 6 Février c'était aujourd'hui...Où était Émeraude ?

Les monstres peuvent changer, j'était aux frontières de la noirceur et grâce à deux jeunes demoiselles j'avais pu échappé à cette horrible sort mais, le feu fini toujours par nous embrassé le cœur...

Je regardais devant moi, j'avais lâcher mes prises sur le sol.Ma vie s’effondrait.Le feu de l'incendie était d'une terrible chaleur.Mon cœur était perdu.Ma vie ne valait plus rien.Je couru à une vitesse folle dans les décombres de ma chaumière "adoptive".Les dernières flammes était intense et sans merci, la fumée étouffait mes cordes vocales m'empêchant ainsi de cri le nom de ma Bien-Aimée.Je cherchais partout, mes yeux brûlais, j'avais mal.J'était dans le noir le plus totale, quand j'ai vu le cruel Kayaba, le sous fifre préféré de Garagami.Il tenait par le cou ma futur épouse.

Mon cerveau n'a pas compris se qu'il se passait que j'était déjà en direction du dur Kayaba.J'ai pris instinctivement les deux dagues de mon ancien adversaire, Kiritozaki.Elles étaient plus longues que des dagues normales, elles pourraient même confondu avec des épées courtes.Mais, face à la naginata de se solide guerrier, avais-je une chance ? Toute façon avais-je le choix ? Je voyais la dernière personne en qui je pouvais encore me fier.Je ne pouvais la laisser mourir, comme mes parents...

C'est étrange peux être une des pires armes jamais créés.Moi qui a toujours un raisonnement réfléchi, je me laisse emporter par cette funeste arme.Dans un cri puissant je me lança sur ma cible.Il était plus costaud, mais moins réactif.Mes deux lames s'ancrèrent dans la chair de son dos.Il n'y fît rien sauf lâcher Émeraude de son emprise, elle tomba lourdement au sol.Il sauta sur place pour me déséquilibrer et m'attraper facilement.Un immense flaque de sang était à ses pieds, mais il n'avait eu aucune douleur ! Il me projeta au sol. Émeraude eu assez de temps pour s'échapper en douce.J'allais sûrement mourir, c'était maintenant évident, mais je l'aurais sauvé pour une deuxième fois.

Avant de quitter ce monde infâme j'aurais juste voulu entendre une dernière fois sa voix me dire, "Ne t'inquiète pas, je suis là maintenant, nous sommes réunis".La force du pied que m'exerçais Kayaba sur ma poitrine me fît reprendre mes esprits.J'avais un épineuse pression sur mon torse, j'allais exploser ! Pendant qu'il me fessait souffrir comme jamais, il riait bruyamment.Il m'expliqua comment il avait su que moi, le fils de la famille Ha..y..o *Encore un vide, c'était comme si quelqu'un ou quelque chose ne voulais pas que je me rappelle des choses les plus cruciales de ma misérable existence* avait pu me retrouver dans le même village où mes parents avaient été tué.Je n'est pas vraiment compris ce qu'il me disait mais, tout laissait voir que un paysan m'avait dénoncé pour une forte prime.

Moi qui les est aidé tant, en plus que je leurs rendait services quand j'était encore un enfant, maintenant vendais ma tête à la pire bande de criminelle du Japon.Il prit son naginata et l'enfonça tranquillement dans mon bras gauche.Le liquide rouge qui me gardait en vie se déversait comme un seau qu'on vide par terre.Ma souffrance vu telle que je ne voulais plus supplier pour qu'il arrête mais qu'il en finisse avec moi.Il rigolais de mon martyre.On dirait que l'odeur du sang le fessait délirer et qu'il en voulais toujours plus...

Il leva son arme pour finir le boulot, enfin.Je ferma les yeux.Pensant à tout ce que j'allais manquer sans ma Émeraude.Mais, les rires de Kayaba se coupa d'un coup.Sans prévenir un kunaï transperça son épaule droit.Cette fois-ci, cette vilaine attaque lui fessa réaliser qu'il n'était pas insensible à cette sensation qu'ont appellent la "douleur".Un jeune homme, un peu plus jeunot que moi fît son apparition.

Il était plutôt petit, habillé tout en blanc et portait plusieurs autres kunaï sur lui.Un grand katana était bien attaché dans son dos.Le katana en question était presque aussi grand que lui.Ont ne voyaient pas son visage, tout était camouflé par un masque blanc.J'entendis les cris de ma petite copine, "SHIRO !", Shiro ? Ce mot signifie "Blanc" en japonais. Il ressemblait à un assassin mais, pourquoi être en blanc ? Le noir était beaucoup plus adapté pour les situations qu'il exerçait.La peur que ont peut voir facilement, voilà une peur qui donne envie et que ont ne peut pas agir.

Kayaba continua à rire d'un coup.Il retira le couteau en forme de feuille.Il prit sa puissante arme à deux mains et se rua sur Shiro.Le ninja blanc ne bougeait pas ! Lorsque Kayaba charga son arme sur lui pour le sectionner en deux, d'un coup Shiro disparu.Il était si rapide.Sa proie était maintenant derrière lui et il avait trois kunaï planté en plein dans ses jambes.Il tomba à genou.Shiro sauta tout en sortant son katana pour lui trancher sa tête.Mais, le dangereux bandit ne se laissa pas faire ainsi et esquiva de justement l'attaque finale, ou presque.La moitié de son visage était couvert de sang.Son œil droit était absent maintenant et ses tatouages faciales disparu dans un nuages de fluide sanguin.

Il se releva brusquement sans porter attention à l'attaque et souleva son naginata vers Shiro.La solide lame de Kayaba toucha le flanc du redoutable assassin.Le jeune courageux tout blanc était maintenant imbibé de rouge.Il était paralysé par terre, était t-il mort ? Le gros combattant déchira une partie de son bandeau pour arrêter l’hémorragie qu'il avait au visage.Il ria de plus belle.Pendant ce cours combat, moi je n'avais pas bougé d'un poil. Kayaba se mit devant moi.J'était faible.Je n'avais plus de force, en une simple attaque il m'avait épuisé.Je ne sais pas pourquoi à ce moment j'ai été poussé à faire ce que je vais vous écrire bientôt, acte de folie ou dernier espoir ?

Je pris mon bras blessé et j'avala un peu de mon propre sang.J'ai continué ainsi pendant une dizaine de secondes, pendant que Kayaba met en place son bandage temporaire.Une dernière lueur m'apparu.Une dose d'énergie m’envahis-sa.Boire son sang comme un vampire donnait des forces supplémentaires ? Je glissa entre les jambes écorché de mon adversaire et je pris le katana de Shiro qui était sur le passage.Je mis un pied sur place et ensuite le deuxième.J'était debout, même avec mes trois côtes fracturés sans aucun doute ! Je m'élança dans une danse de lame magnifique.Dès que la lame tranchante entrait en contact avec le corps de mon ennemi, je lui acharnais déja un deuxième coup de katana.Mon arme attaquait si rapidement.

Kayaba se retourna et arrêta mon épée avec sa main déjà ensanglanté.Il réussit mais aux coûts de trois doigts.Il lançait le katana très loin, dans les ruines de la maison.Il pris mon bras et lui même s’abreuva de mon liquide vitale ! Il me sourit la bouche dégoulinante de son sang et du mien.Il projeta au sol pour la deuxième fois.Il prit sa dague pour m'ouvrir la gorge et se délecté par le chemin le plus emprunté par mon sang.J'ai alors vu Émeraude courir vers moi, elle voulait arrêter Kayaba.Elle était si fragile, elle ne pouvait rien y faire...Il se pris le coup de dague dans la poitrine.

Elle me sourit juste avant de tomber.La colère, une source illimité de puissance.Mon cœur s'arrêta de créer cette source de chaleur agréable et s'embrassa d'un coup.Mes yeux était noir de colère.Kayaba voulait rire mais, il comprit rapidement que sa ne lui servait plus a rien.J'avais déjà pris son arme et lui transperça le seul œil qui lui restait de fonctionnel.Il cria.Il me lâcha immédiatement.Il courra très loin sans se retourner.À ce moment, ce n'est pas lui qui ria , mais moi.Je riais fort et comme un fou.Même si ma "Chère" était morte et  humilié dans son propre sang, je continuais.Je rigolais sadiquement, je riais férocement.Ma facette sombre était révélé, elle était caché, je les réveillé...
Je releva ma tête droit devant le cadavre de Émeraude, mes yeux injecté de sang, je me lécha la dernière goutte de sang présente sur mes lèvres avec ma langue.J'était devenu le monstre que j'avais toujours regretté.

Le sang coule, mon côté ombragé lui refait surface..Ont ne peut pas enfermé éternellement ce que n'ont est réellement, pour ma part un monstre ou un héros incompris ?

Cela fait bien quatre jours que j'ai quitté les décombres de ma demeure.Avant de partir, j'avais enterré Émeraude près d'un grand chêne.Les seules choses que j'avais pu récupéré de l'incendie, fût mon coffre cloué.Il y avait à l'intérieur mon arc, quelques pièces, des couteaux de toutes sortes, des provisions non-périssable et l'habit noir et sombre de Yasutomo, que j'avais d'ailleurs enfilé à la place de mes lambeaux de tissu et de soie que ma "Chérie" m'avait donné.

Mon arc sur le dos, j'ai pris Shiro sur mon épaule pour le l’emmener avec moi.L'assassin blessé était toujours inconscient mais son cœur battait et il respirait encore.Une fois assez loin du village de Kirito, dans les bois, j'ai trouvé une clairière.Il y avait une ancienne maisonnette pour les champs de riz, s'était notre seul foyer maintenant.C'était un endroit abandonné et délabré mais sécuritaire, pour l'instant.J'avais rebouché les trous dans la toiture avec des feuillages et de l'écorce.Shiro était allongé sur une couchette que j'avais improvisé.

Je n'avais pas sauvé ce jeune courageux, car il m'avait sauvé mais bien parce que il connaissait Émeraude de toute évidence.Il était son ancien petit ami ? Sa je ne savais pas encore, mais il fallait qu'il reste en vie.Je ne pouvais laisser passer l’occasion de connaître un plus sur la vie la défunte.Il faut dire qu'elle n'aimait pas trop raconter son passé.À part l’existence de sa sœur et de sa tante, je ne savais pas de tant de chose sur elle.Cela me suffisait quand elle était encore à mes côté.

Les nuits étaient froides et intenses.Le vent passait par les fentes de la maison.Je regardais la lune.Même ce bout de poussière avait une âme-sœur, le soleil.Les deux se complète, le soleil offre la chaleur et la vie et la lune offre sa noirceur pour nous reposer.Moi, je n'avais plus cette complémentaire près de moi.Le soir, quand mes souvenirs d'horreurs refaisaient surface, elle me serrait contre elle.Le bruit de son cœur et la douceur de ma peau, était peu pour certain mais cela me rappelais que je devais rester en vie pour Émeraude.

Où était-t-elle ? Elle m'attendait en haut ? Où après cette misérable vie, nous tombons tous dans cette faille noir que j'ai toujours redouté ? Je voulais la voir, je voulais l'entendre, lui parler encore une fois.Pourquoi dit t-ont que Dieu récompense les bons et punis les injustes ? Émeraude était si pure, pourquoi Dieu a t-il fait cela ? Pour me punir moi ? Dieu ne pouvais pas tuer une innocente pour punir un mauvais.À moins que sans le savoir j'était si méchant que Dieu a fais une exception ?

Ce méprisable Dieu ne servait à rien ! Il était inutile ! Sans raison d'exister ! Pourquoi avoir inventer la mort ? Pourquoi avoir inventer la maladie ? Pourquoi personne n'est égale dans ce monde ? Je savais maintenant que cet être "Divin" n'était que un charlatant qui voulais vendre sa camelote.Mon esprit était sombre.Je n'était pas un héros incompris, mais un animal sauvage que plusieurs tentent de enchaîner mais sans succès.Je ne fais que apporté la mort derrière moi.Mes parents, Émeraude et peut-être même ce pauvre Shiro.

Le lendemain matin, je me leva comme tout les matins, mais cette fois-ci Shiro n'était pas sur sa couchette.J'ouvris la porte et je les vu entrain de ramassé les restes des plantations de riz qui avaient survécu.Il était toujours dans son long manteau blanc parsemé de grosses taches de sang séchés.Il se retourna, son visage était encore caché par son capuchon blanc.La première chose qu'il fût était de me prendre dans ses bras et de me demander si Émeraude allait bien.Des larmes noirs coulèrent de sous son capuchon.

Comment était-t-il possible de pleurer des larmes noires ? Un sans-âme ? Il rentra directement dans la chaumière en pleurant.Moi, qui était son "mari" n'avais même pas versé une stupide larme.Qui était t-il réellement ? Tout me laissait prétendre qu'il ne venais pas de ce monde.Je suis aller le rejoindre dans notre abri, mais une fois à l'intérieur, il n'était plus là.Il avait laissé son katana et son long manteau encapuchonner sur la table moisie.Où était-t-il partit ? Je ne savais pas, mais mainteant son visage était à découvert...

On cogna à la porte fissuré ! Qui pouvais bien passer par ici ? Je pris le katana d'une main et de l'autre tourna la poignée en cuivre rouillé...

À qui pouvons nous nous confier ? Si ce Dieu existe réellement et qu'il peut tuer qui il veut quand il le désire, pourquoi la vie doit être vécue ? Seul cet esprit tourmenté le sait, la vie n'est autre chose que torture ?

J'ai ouvert la porte moisie prudemment. Je regardais droit devant d'un air singulier, mais personne n'était là.J'entendis une petite voix assez âgé avant que je referme la porte.J'ai baissé les yeux.J'ai alors vu ce vieil homme, ou devrais-je dire ce petit vieil homme.Il fallait le dire il était assez petit, le dos recourbé part toute ses années sur lui, il avait de petits cheveux blancs qui restaient encore agrippé à son crâne qui dépassait de son chapeau en fourrure de yack, d'ailleurs tout ses vêtements était en peaux et fourrures de yack.Tout laissait porter à croire qu'il venait de la Mongolie ou de la Chine.Que pouvais bien t-il faire au Japon ?

Malgré son accent mandarin étrange je suis parvenu à décoder ses paroles, il s’appelait Hasino.Il était aveugle de naissance et cherchais désespérément un endroit où passer quelques jours.Malgré toute la haine que j'avais en moi, je ne pu refuser l'offre.À chaque jour, il restait près du feu à regarder les flammes, comme si le feu lui parlait.Je le regardais souvent.Ce n'est pas tout les jours que l'ont croise un vieillard qui est habillé pour des températures très froides qui voyage dehors à une chaleur aussi accablante.

Il était aveugle, mais il ne fessait que me surprendre ! Quand il avait fini de regarder les flammes, il partait dans la forêt avec un arc mal bandé.Il rapportait toujours de nombreuses proies pour les repas.Il ne voyait rien, mais son esprit était vif.Vu que je ne savais pas cuisiner, il préparait même les repas.Un peu trop carbonisé, mais comestible.Le soir, nous nous parlions de nos vie, je regardais bien sûr en secret toutes mes mésaventures. Son passé était flou, enfaîte, je m'en souviens même plus...

La nuit j'allais sur le bord du lac près de la rizière, j'était redevenu le petit garçon d'autrefois.J'avais peur et sursautais à chaque craquement de feuille ou de branche.Je pleurais pendant que la lune m'offrait sa lumière.Je m'avais promis d'arrêter de pleurer comme une fillette qui aurais perdue sa maman au marché, mais rien n'y fessait, j'était redevenu faible.J'était maintenant un simple jeunot qui vivait avec un vieux fou, dans une maison délabrée. Pourquoi mes larmes me fessait si mal ? C'était comme si du fer en fusion glissait sur mes joues.J'était faible...

Le lendemain, le vieux me réveilla très tôt le matin.Sans dire un mot je le suivi.Il se trouva un coin sur la berge et s’assit.Je devais lui rapporté une longue tige de bambou.Quel drôle de personne, mais sans posé de questions inutiles je m’exécuta à la tâche.Quand j'ai trouvé la tige idéale, environ 1.30m de longueur, 5 cm de diamètre et une bonne résistance, je les rapporté à Hasino.Il me souris, il prit un long bout de poil de yack tressé et l'attacha au bout de la tige.Avec une vieille aiguille qu'il avait crocheté à son bonnet il en fabriqua un hameçon de fortune qu'il fixa à la ligne.Il avait ainsi créé une canne à pêche.

Une petite grenouille bondissait par là et il l'attrapa d'un coup.L’appât était prêt.Il lança la ligne à l'eau.L'eau de ce petit lac était clair et serein.La brise était bonne et le soleil donnait toujours autant de chaleur.Nous restions là devant le lac silencieux.Quand le soleil déclina, le poisson avait répondu à l'appel.Le poisson mordait à la ligne, mais Hasino ne réagissait pas.J'allais lui dire de tirer, mais il le mis son doigt plissé sur la bouche pour m’empêcher de dire un bruit.Quelques secondes plus tard, il tira de touche ses forces ! Le poisson sorti de l'eau immédiatement.

La patience qu'il disait, voilà les vrais valeurs d'un combattant.Il me fessait bien rire, un poisson pour plus de 10h de travail.Pas de quoi devenir gourmand.Le lendemain, il m'appela sur la rive sur midi.Il n'avait plus sa canne à pêche maison, à la place il avait confectionné un filet de pêche avec des poils de yack.Cela lui avait pris beaucoup de temps c'était sûr, voir toute la nuit passé.Il plaça le filet à l'eau. Nous n'avons pas attendu plus de 30 minutes avant que Hasino retire le filet, une dizaine de poissons s'y avaient piégé.Voilà un repas de roi ! Il se tourna vers moi. Il prononça une phrase que je n’oublierais jamais et qui changea toute ma vision des choses en se monde.

"Dieu pêche les âmes à la ligne, mais Satan lui,  les pêche au filet."


Cette phrase était tout simplement révélatrice.Il me regardait.Il me dit une chose étrange.

"Tu sais, les morts ne sont pas disparu pour toujours, ont peux les faire revenir, nous devons les faire revenir.Je sais ce que tu ressens, Émeraude te manque, mais sache que Satan peut t'aider. Il t'aidera si toi tu l'aide."


Je ne savais pas pourquoi Hasino avait dit sa. J'ai tout de suite répondu, que je voulais savoir, tout savoir...

Hasino m'a tout appris.Pour le rituel, il fallait remplacer le corps du défunt.L'esprit était encore accessible, mais il fallait un autre corps.Pour tout réunir les ingrédients il me fallu deux semaines entière.Vers la nuit du 2 Septembre, Hasino à qui je n'avais pas parlé depuis c'est 2 semaines me dit de le suivre dehors.Nous marchions comme sa en pleine forêt, notre seule lumière la lune et notre seule couverture la noirceur.Après une bonne heure de marche dans le silence à entendre le cris de hibou et de loup, nous sommes arrivé au pied d'une montagne immense.

Le vieillard sorti un couteau dorée de son étui. Il pris le couteau pour se l'enfoncer lentement dans la main.Bizarrement cette violente auto-mutilation ne m'a pas affecté.Du sang frais coulais abondamment de la main du aveugle.Il plaça sa main ensanglanté sur la parois rocheuse.On dirait que le monticule de roche ressentait la douleur caché de mon nouvel ami.Une partie de la parois se fissura.Laissant à découvert une minuscule entrée mal éclairé par des torches.Nous nous faufilâmes dans la fissure qui descendait dans les profondeurs.Après une bonne dizaine de minutes de descente sans un mot, nous sommes arrivé à une porte encastré dans la roche.

Le vieil homme ouvrit sans hésitation la porte.Avant de pénétrer dans la seconde partie de la cachette, il me regarda avant de prononcé quelques mots, "Suit moi, ne regarde pas derrière".Je n'avais pas encore saisis se que Hasino voulais me faire comprendre.La lumière était d'un ton rouge et violet.Une musique calme et saisissante résonnait dans cette grande pièce, qui semblait être le cœur d'une secte au allure démoniaque.

Vers, la droite de petite chambrette étaient gravés dans la rocaille, seul des draps en soie d'un rouge vif séparait les différentes chambrettes.Là-bas, de jeunes femmes que j'avais déjà croisé dans le village, buvaient et délectaient leurs charmes sur de imposants mâles tatouées de sombre façon.De vrais orgie si passait, l'ambiance devenait malsaine.De l'autre côté, des hommes et des femmes se ruaient vers un corps inerte, je ne savais pas se qu'ils fessaient exactement mais une abracadabrante cérémonie se déroulait.

Nous continuâmes à avancer dans cette salle, les gens commençait à m'observer bizarrement.Ils se chuchotaient des mots entres eux.est-ce que j'allais être accepté dans cette putride secte ? Pourquoi est-ce que j'en suis arrivé là, je ne savais pas...

La suite du chapitre très prochainement !

Il fessait noir, très noir.J'avais tombé d'un précipice ? Un gouffre sans fond.Où tout était noir et froid.J'avais très mal, c'était comme si j'avais une douloureuse épine dans le torse.Ma vie était fini ? C'est ce que ont appelaient la "Mort".C'était triste et sans joie.Quoi que la mort fait partie de la vie.Nombreux disent que la mort est le début de la vie, je trouve sa ridicule.Tomber sans fin dans un trou obscure sans lumière, avec une agonie sans répit, je n'appel pas sa la "Vie"

J'ouvris enfin les yeux.Je ne savais pas combien de temps j'avais été endormi, n'y si j'avais vraiment "dormi".J'était dans une couchette confortable pour mon pauvre corps qui n'avait longtemps pas eu se luxe.Le rude vent de l'extérieur ne se fessait pas ressentir ici.J'était dans une chaumière sans aucun doute.Une douce lumière m'éclairait.Un somptueux parfum de riz cuit et de bœuf bouilli, une soupe Miso devais être en préparation.Je me souviens de c'est soupe, ma mère les cuisinais autrefois, ils réchauffaient le cœur de toute notre famille, avant...J'avais subitement faim.

J'entendais de belles voix féminines qui discutaient en bas, pour savoir qui allaient me questionner en premier.J'ai ris, sa fessait bien longtemps.Les voix se tuent.Les escaliers grinçaient bruyamment, une douce silhouette entra dans ma chambre avec un plateau de porcelaine.Elle se nommait ... K...*Vous savez que pour les noms je ne suis pas un expert*Elle me donna une bonne portion de soupe Miso et me demanda comment toute cette histoire démente avait bien pu arriver.Je lui est alors raconté mon épopée, ou presque, il fallait tout de même se méfier.

L'autre fille nous écoutait par l'ouverture de la porte, elle était beaucoup plus jeune que ma autre compagne.Elles étaient sœurs et leurs parents étaient morts tout comme les miens dans un incendie causé par le groupe de Garagami.La plus aînée était d'une beauté, je n'avais jamais vu cela.De long cheveux d'un noir ébène, des yeux verts comme des émeraudes,  un visage digne d'un ange et une voix semblable aux murmures des fleurs.Elle était vêtu d'une longue robe verte et avait les cheveux sans coiffure pré-fait, elle était libre.Sa petite sœur,*Elle aussi son nom m'échappe mais c'était d'une douceur...* était vêtu d'une robe bleu et verte, physiquement elle était identique à sa sœurette mais, avec de grands yeux bleus.

Elles m'avaient tout les deux, soigné et offert de nouveaux vêtements, qui ressemblaient à ceux que les grands nobles portes régulièrement.Un pansement me couvrait l'abdomen entier, avec la soupe Miso, la douleur avait presque disparu.Mais, je crois que la vrai raison de mon rapide rétablissement était sans doute cette jolie fille aux yeux d'émeraudes.Elle était si gentille avec moi, si délicate et aimante.Cela fessait si longtemps que mon cœur n'avais pas battu, j'était dur, mais, je sentais que avec Émeraude *Oui, c'est le seul surnom qu'elle aimait* je pouvais revivre et laisser le passé derrière moi.En plus, à première vu elle avait le même âge que moi.

J'étais amoureux moi ? Non ! Ce ne pouvais pas être possible il y a moins de une semaine j'avais tué deux hommes d'une façon terrible.Je ne méritait pas cette attention, tout ses soins et ses mot réconfortants.J'était devenu un monstre, une âme sans pitié.Jamais j'avais voulu tuer, mais si je n'aurais pas agis ces deux filles ne seraient pas en vie et ne ferais pas battre mon cœur.Je pouvais changer ! C'était possible, mon oncle me le disait, il tuait des gens pour en sauver d'autres qui eux avaient mériter de vivre.Je devais me prouver à moi même que ma vie pouvais changer.

Chaque jour, pendant que sa petite sœur allait chez sa tante, elle et moi se baladèrent dans les sentiers montagneux entourant le village.Elle m'aidait à reprendre le dessus sur moi, mais jamais elle m'arrivait remercier pour l'affreux acte que j'avais fait.Les pétales qui tombaient dans l'eau et les chants des oiseaux, une atmosphère que je ne croyais jamais partager avec une personne aussi chère pour moi.L'amour un mystère, même pour un garçon aussi intelligent que moi.Main dans la main, nous alliâmes sur se pont près de l'endroit où je les avaient sauvé.Elles n'osait jamais regarder sous l'eau du pont, elle avait peur des fantômes ?

Les jours ne poursuivirent ainsi, quand pendant une nuit près du pont elle m'embrassa pour la première fois.Comment dire, je ne sais pas comment vous décrire ce moment, non pas parce que c'était si magique, mais c'était comme si quelqu'un s'amusait à jouer avec ma mémoire.Le lendemain, nous étions couché sous un arbre, les rayons du soleil se reflétait dans ses cheveux.J'était tout chaud, mon cœur et mon âme.Elle était là appuyé sur mon épaule, dormant paisiblement.

Deux mois s'était écoulé, j'allais chasser le jour dans le boisée et Émeraude s'occupait de la maisonnée, les repas, les vêtements et de puiser l'eau du puit.Sa petite sœur était parti 4 mois avec sa tante pour aider la dernière escadrons qui savaient dirigés vers la frontière de la Dynastie des Yong.Nous étions un jeune couple dans les 16 ans, mais c'était comme si je la connaissais depuis 30 ans.Chaque jour, la lumière du jour passait dans notre chambre pour nous éveillé.

Elle voulait se marier dans les règles de l'art, comme le veut la tradition.Elle voulait attendre sa tante et sa petite sœur pour préparer le tout.Moi j'était comblé.Il n'y a pas si longtemps, j'était un petit garçon caché dans les broussailles et maintenant j'allais me marier avec la plus belle femme que je n'avais jamais vu.les histoires d'amour étaient réelles, ils faut juste y croire et se laisser bercé par notre personnalité.

Mais, c'est lorsque ont en s'attend le moins que le pire arrive.J'arrivais tranquillement de ma chasse avec quelques lapins sauvages à la main.J'entendais des cris au loin, vers le village.Encore une fête de la pars des nobles je me suis dit.Mais, plus je me rapprochais, plus j'avais peur.Quand je suis arrivé au somment de la colline qui surplombait notre maison, des flèches, du sang, du feu et des morts.J'avais oublié, le 6 Février c'était aujourd'hui...Où était Émeraude ?

Les monstres peuvent changer, j'était aux frontières de la noirceur et grâce à deux jeunes demoiselles j'avais pu échappé à cette horrible sort mais, le feu fini toujours par nous embrassé le cœur...